Réponse : Certes les différences entre catholiques et évangéliques sont nombreuses et nous essaierons de répondre ici même à ces objections. Pour ce qui concerne Marie qui est notre très sainte Mère, la Mère de tous les croyants (Rm 8, 29; Jn 19, 27) sur laquelle s’est posé le regard de Dieu (Lc 1, 48) Et comme « le Seigneur a les yeux sur les justes et tend l’oreille à leur prière » (1Pi 3, 12) nous pouvons donc compter sur Marie pour son intercession. Mais poursuivons la démonstration. Parce que Dieu a assumé la chair de l’homme en Marie il se devait d’assumer Marie au ciel, c’est ce que les catholiques appellent l’assomption. Jésus né sous la Loi, honorait Sa Mère (Ga 4, 4) Loi qui le stipule bien (Ex 20, 12). Mais Dieu est allé plus loin encore. En la personne de Jésus il s’est soumis à Ses parents alors qu’Il n’était qu’un enfant (Lc 5, 51). L’amour inconditionnel de Jésus pour Sa Mère le conduit à assumer la nature humaine de Sa Mère au ciel (Ap 12, 1-2. 5). Pour ce qui est des Saints les choses sont plus claires encore. Jésus priant son Père Lui soumet une volonté, « Père, je veux que là où je suis, ceux que tu m’as donnés soient eux aussi avec moi, et qu’ils contemplent la gloire que tu m’as donnée, car tu m’as aimé dès avant la fondation du monde.« (Jn 17, 24) Il n’est désormais plus question d’être séparé de l’amour du Christ, pas même dans la mort (Rm 8, 38-39; Mt 28, 20) Nous pouvons le rejoindre au ciel une fois le cours de notre vie terminé (2Co 5, 6-9; Php 1, 23-24) où les Saints ont une vie et s’expriment (Ap 6, 9-10; 7, 9-17) et prient le Seigneur (Ap 5, 8; 8, 3; Lc 16, 19-30).
Il y a donc bien intersession des Saints et de Marie.
La Bible proclame que nous pouvons nous-mêmes nous approcher du trône de grâce de Dieu avec assurance (Hébreux 4:16). La Bible atteste clairement que Dieu désire que nous Le priions, que nous communiquions avec Lui, que nous Lui soumettions nos besoins (Philippiens 4:6 ; Matthieu 7:7-8 ; 1 Jean 5:14-15). Nous n’avons pas besoin de médiateurs ou d’intermédiaires, car Christ est notre seul et unique médiateur (1 Timothée 2:5), et Christ et le Saint Esprit intercèdent déjà tous deux pour nous (Romains 8:26-27 ; Hébreux 7:25). Cher ami Catholique, Dieu vous aime intimement et a prévu une porte ouverte pour une communication directe à travers Jésus.
Oui la bible déclare que nous pouvons nous approcher de ce trône, mais ce trône est présent dans le tabernacle des églises de l’Eglise catholique. Pour ce qui est de la médiation du Christ, elle doit être comprise dans son contexte et éclairé de 1P 2, 5 « Vous-mêmes, comme pierres vivantes, prêtez-vous à l’édification d’un édifice spirituel, pour un sacerdoce saint, en vue d’offrir des sacrifices spirituels, agréables à Dieu par Jésus Christ ». St Pierre dit que les chrétiens ont part à l’unique et éternel sacerdoce de Jésus Christ. Jésus est médiateur entre Dieu et l’homme en raison de son sacerdoce. Par conséquent, partager le sacerdoce du Christ signifie partager sa médiation, à la fois au ciel et sur la terre. De plus 1 Tim 2, 5confirme que nous partageons la médiation du Christ, lorsque nous le lisons en contexte. Aux versets 1-4, St Paul demande aux chrétiens de participer à la médiation unique du Christ en offrant des prières et des intercessions pour tous les hommes :
« Je recommande donc, avant tout, qu’on fasse des demandes, des prières, des supplications, des actions de grâces pour tous les hommes,( …) Voilà ce qui est bon et ce qui plaît à Dieu notre Sauveur ».
Les chrétiens qui intercèdent sur la terre les uns pour les autres dans la prière, ne contredisent pas l’unique médiation de Jésus Christ. De même, le fait que les saints du ciel intercèdent pour nous, ne contredit pas 1 Tim 2, 5. Car toute prière, sur terre comme au ciel, est en Christ et à travers lui, notre unique médiateur et grand prêtre. Le principe est le suivant : bien que Dieu seul possède toutes les perfections, nous pouvons participer aux perfections de Dieu en partageant sa vie divine. Par exemple, la Bible dit que Dieu seul est bon (Mc 10, 18). Cependant nous pouvons avoir part à cette Bonté infinie : « «C’est bien, serviteur bon et fidèle».Jésus partage nombre de ses attributs avec les chrétiens. Jésus est le Créateur de toute chose (Jn 1, 3 ; Col 1, 16-17) et cependant il partage ce rôle avec l’homme et la femme dans la procréation. Jésus est le seul Berger (Jn 10, 11-16), cependant il délègue ce rôle à St Pierre (Jn 21, 15-16) et plus tard à d’autres (Eph 4, 11). Jésus est l’éternel Grand Prêtre qui par son sacrifice, est le médiateur pour notre rédemption (Heb 3, 1 ; 7, 24 ; 9, 12 ; 10, 12), et cependant les chrétiens sont appelés à se joindre au sacerdoce du Christ (1 P 2, 5 ; Ap 1, 6 ; 5, 10).Évidemment, Jésus est l’unique Créateur, Berger et Prêtre, mais tout chrétien participe d’une manière subordonnée à ces rôles. En participant à la vie divine du Christ, les chrétiens partagent aussi à sa médiation. (Source)
La différence la plus cruciale entre les Catholiques et les “Chrétiens bibliques” est en rapport avec la question du salut. Les Catholiques considèrent le salut presque entièrement comme un processus, tandis que les Chrétiens le considèrent comme étant à la fois un état achevé et un processus. Les Catholiques se voient comme “en cours d’être sauvés,” tandis que les Chrétiens se voient comme “ayant été sauvés.” 1 Corinthiens 1:2 nous dit, “… à ceux qui ont été sanctifiés en Jésus-Christ, appelés à être saints …” Les termes “sanctifié” et “saint” sont tirés de la même racine grecque. Ce verset déclare que les Chrétiens sont à la fois sanctifiés et appelés à être sanctifiés. La Bible présente le salut comme un don qu’une personne reçoit dès qu’elle place sa foi en Jésus-Christ comme Sauveur (Jean 3:16). Lorsqu’une personne reçoit Christ comme Sauveur, elle est justifiée (déclarée juste – Romains 5:9), rachetée (sauvée de l’esclavage du péché – 1 Pierre 1:18), réconciliée (obtient la paix avec Dieu – Romains 5:1), sanctifiée (mise à part pour Dieu – 1 Corinthiens 6:11), et née de nouveau comme une nouvelle créature (1 Pierre 1:23 ; 2 Corinthiens 5:17). Chacune de ces choses constitue un fait accompli, entièrement reçu au moment du salut. Les Chrétiens sont alors appelés à vivre, de manière pratique (appelés à être saints), une chose qui est déjà vrai sur le plan positionnel (sanctifiés).
Tout d’abord les catholiques ne sont pas si « non bibliques » que l’on voudrait bien nous le faire croire. C’est justement ce que nous nous appliquons à démontrer ici même. Le salut est effectivement un processus qui commence par la justification par la foi et le baptême. La justification n’est qu’une sanctification provisoire. Celle-ci est opérée par la grâce sanctifiante moyennant la foi justifiante. Ce qui suit la justification par la foi, c’est la persévérance qui elle même nous sanctifie. Abraham par exemple dû sa justice non seulement à la foi mais aussi aux œuvres, les deux étant « coopérantes » (Jc 2; 22). Jc 2, 24 : « Vous le voyez : c’est par les oeuvres que l’homme est justifié et non par la foi seule« . Paul ne dément pas cela : « Ce ne sont pas en effet ceux qui écoutent la loi qui sont justes devant Dieu ; ceux-là seront justifiés qui la mettent en pratique. » (Rm 2, 13) Où encore : « travaillez à votre salut avec crainte et tremblement. » (Php 2, 12) Pourquoi servir « avec crainte et tremblement « si nous sommes sauvés malgré tout ? De plus il est bien aussi question de « travailler pour son salut » ! Ce qui dénote justement un « processus » ; » appliquez-vous d’autant plus à affermir votre vocation et votre élection ; car, en faisant cela, vous ne broncherez jamais. » (2 Pi 1,10). Mais loin d’être les seuls passages nous avons : 1Ti 2, 9; 5, 10. 24-25; 6, 18; 2Co 9, 8; Col 1, 10; Eph 2, 10; Ti 2, 7. 14; 3, 8. 14 dont nous ne prendrons qu’un verset pour éclairer ce point :
De plus que les nôtres aussi apprennent à se porter aux bonnes œuvres, de manière à subvenir aux besoins urgents, afin qu’ils ne soient pas sans fruits. (Tite 3, 14) Il est ici question « de ne pas rester sans fruit ». Ce qui nous conduit évidemment à la parabole de la vigne (Jn 15, 1-17) où les sarments qui ne portent pas de fruits sont Jeté au feu (Jn 15, 6) de même que dans la parabole des talents (Mt 25, 14-30) qui se termine ainsi Mt 25, 30 « Quant à ce serviteur bon à rien, jetez-le dans les ténèbres du dehors : là seront les pleurs et les grincements de dents. » ou encore : « A qui on aura donné beaucoup il sera beaucoup demandé, et à qui on aura confié beaucoup on réclamera davantage. » (Lc 12, 48b). Tout ceci n’est qu’une liste non exhaustive que nous cessons ici tant il est déjà clairement établi que les œuvres ont leur importance dans la doctrine du salut. Néanmoins il ne serait pas convenable de terminer ici sans donner quelques clés qui permettent d’aller plus avant concernant non plus la foi qui est « l‘amorce du salut » mais la charité. Car : « la foi est agissante par la charité ». (Ga 5, 6) « Quand j’aurais même toute la foi jusqu’à transporter des montagnes, si je n’ai pas la charité, je ne suis rien ». (1Co 13, 2) Comme le souligne bien Jacques dans son épître (cf. Jc 2, 14-26).
Nous voyons donc bien que la foi seule ne suffit pas. Mais ce point sera développé plus avant encore plus bas.
Selon les Catholiques, le salut s’obtient par la foi, mais il doit être par la suite “conservé” par les bonnes œuvres et la participation aux Sacrements. Les Chrétiens bibliques ne nient pas l’importance des bonnes œuvres ou le fait que Christ nous appelle à observer les ordonnances en Sa mémoire et par obéissance à Lui. La différence est que les Chrétiens considèrent ces choses comme le résultat du salut et non comme une condition du salut ou un moyen d’obtention de celui-ci. Le salut est un travail accompli, acquis par le sacrifice expiatoire de Jésus-Christ (1 Jean 2:2). Dieu nous offre le salut et l’assurance du salut car le sacrifice de Jésus est entièrement, complètement et parfaitement suffisant. Lorsque nous recevons le don précieux du salut offert par Dieu, nous pouvons savoir que nous sommes sauvés. 1 Jean 5:13 déclare, “Je vous ai écrit ces choses, afin que vous sachiez que vous avez la vie éternelle, vous qui croyez au nom du Fils de Dieu.”
SI nous sommes sauvés par la foi, ce que nul catholique ne conteste il n’en demeure pas moins que c’est sur les œuvres que nous sommes jugés et que nous obtenons une récompense (1Co 3, 13-15; 4, 5; 1 Co 15, 10. 58 ; Tite 1, 15–16; Tite 3, 8 ; Heb.5, 9–10 ; 10, 24; Mt.5, 29 ; 16, 27 ;24, 45-47; 25, 31. 41–46 ; Lc 14, 13–14 ; Rm 2, 5–12 ; Heb 5, 9 ; 1 P 1, 17 ; Ap 20, 11–15 ; 22,12..) (Voir ci-dessus)
Jc 2, 13 Car le jugement est sans miséricorde pour qui n’a pas fait miséricorde. La miséricorde triomphe du jugement.
Nous pouvons savoir que nous avons la vie éternelle et avoir l’assurance de notre salut à cause de l’importance du sacrifice de Christ. Ce sacrifice n’a pas besoin d’être offert ou présenté à nouveau. Selon Hébreux 7:27, “Il s’est sacrifié pour leurs péchés une fois pour toutes en s’offrant Lui-même.” Hébreux 10:10 déclare que “… nous sommes sanctifiés, par l’offrande du corps de Jésus-Christ, une fois pour toutes.” 1 Pierre 3:18 proclame, “Christ aussi a souffert une fois pour les péchés, lui juste pour des injustes, afin de nous amener à Dieu …” Le sacrifice unique de Christ a été absolument parfait et suffisant. Jésus a déclaré à la croix, “Tout est accompli” (Jean 19:30). Le sacrifice expiatoire de Jésus a payé intégralement la dette de tous nos péchés (1 Jean 2:2). Par conséquent, tous nos péchés sont pardonnés et nous avons la promesse d’une vie éternelle dans les Cieux au moment où nous recevons le don que Dieu nous fait – le salut par Jésus-Christ (Jean 3:16).
Nous pouvons effectivement lire que le sacrifice de Jésus s’est opéré « une fois pour toutes en s’offrant Lui-même. » Néanmoins le livre de Daniel nous précise ceci : Da 11, 31 « Des troupes se présenteront sur son ordre ; elles profaneront le sanctuaire, la forteresse, elles feront cesser le sacrifice perpétuel, et dresseront l’abomination du dévastateur. » De quel sacrifice peut-il bien être question ici ? Il est bien évidement impossible de supprimer le sacrifice du Christ, personne n’en a le pouvoir. Le Christ Lui même reprendra ce passage afin de nous le rappeler : Mt 24, 15 « C’est pourquoi, lorsque vous verrez l’abomination de la désolation, dont a parlé le prophète Daniel, établie en lieu saint, -que celui qui lit fasse attention ! » Et Paul le rappellera en cette même lettre aux hébreux 11, 28 « Par la foi, il a célébré la Pâque et fait l’aspersion du sang afin que le Destructeur ne touchât point aux premiers-nés d’Israël. »
Nous ne pouvons qu’en conclure que le Sacrifice du Christ se perpétue et nous sanctifie puisque la coupe du Sang de la nouvelle alliance (Heb 12, 24; 9, 15; 8, 6; 1Ti 2, 5) est donné en rémission des péchés. Voici ce passage clé qui nous montre bien qu’il n’est pas seulement question « d’un mémorial » mais de bien plus que cela :
Mt 26, 26-28 : « Or, tandis qu’ils mangeaient, Jésus prit du pain, le bénit, le rompit et le donna aux disciples en disant : « Prenez, mangez, ceci est mon corps. » Puis, prenant une coupe, il rendit grâces et la leur donna en disant : « Buvez-en tous ; car ceci est mon sang, le sang de l’alliance, qui va être répandu pour une multitude en rémission des péchés. » (Lc 22, 15-20; Mc 14, 22-25; 1Co 11, 23-26)
Qui révèle un discours bien connu des apôtres et qui se trouve en Jn 6, 22-59 dont nous ne tirerons ici qu’un seul verset pour illustrer l’institution eucharistique : Jn 6, 51 « Je suis le pain vivant qui est descendu du ciel. Si quelqu’un mange de ce pain, il vivra éternellement ; et le pain que je donnerai, c’est ma chair, que je donnerai pour la vie du monde. »
Cher ami Catholique, désirez-vous ce “si grand salut” (Hébreux 2:6) ? Si oui, tout ce que vous avez à faire, c’est de le recevoir (Jean 1:12), par la foi (Romains 5:1). Dieu nous aime et nous fait don du salut (Jean 3:16). Si nous recevons Sa grâce par la foi, nous avons le salut pour l’éternité (Ephésiens 2:8-9). Une fois sauvé, rien ne peut nous séparer de Son amour (Romains 8:38-39). Rien ne peut nous ravir de Sa main (Jean 10:28-29). Si vous désirez ce salut, si vous désirez que tous vos péchés soient pardonnés, si vous désirez avoir l’assurance du salut, si vous désirez avoir directement accès au Dieu qui vous aime – recevez-le et il est à vous. Voici le salut pour lequel Jésus est mort et que Dieu offre gratuitement.
Le salut peut se perdre et c’est justement pour cela qu’il lui faut travailler « avec crainte et tremblement « (Php 2, 12). Les passages qui nous parlent d’une perte de salut sont très nombreux mais retenons en deux ici :
« Si, après s’être arrachés aux influences corruptrices du monde par la connaissance qu’ils ont eue de notre Seigneur Jésus-Christ, ils se laissent de nouveau prendre et dominer par elles, leur dernière condition et pire que la première. Il aurait mieux valu pour eux ne pas connaître le chemin qui mène à une vie juste plutôt que de s’en détourner après l’avoir connu et d’abandonner le saint commandement qui leur avait été transmis, ils confirment la vérité de ces proverbes : « Le chien retourne à ce qu’il a vomi », et « la truie à peine lavée se vautre de nouveau dans la boue « (2 Pi 2.20-22).
« En effet, ceux qui ont été une fois éclairés, qui ont goûté au don du ciel, qui ont eu part au Saint-Esprit, qui ont expérimenté combien la Parole de Dieu est bienfaisante et fait l’expérience des forces du monde à venir et qui, pourtant, se sont détournés de la foi, ne peuvent être amenés de nouveau à changer de vie, car ils crucifient le Fils de Dieu, pour leur propre compte, et le déshonorent publiquement. En effet, lorsqu’une terre arrosée par des pluies fréquentes produit des plantes utiles à ceux pour qui on la cultive, Dieu la bénit. Mais si elle ne produit que des buissons d’épines et des chardons, elle ne vaut rien, elle ne tardera pas à être maudite et on finira par y mettre le feu » (Heb 6, 4-8).
Mais nous aurions pu citer aussi : Mt 7, 19; Jn 15, 2. 6; Mt 5, 13. 22; Lc 11, 24-26; Rm 8, 13; 11, 22; 1Co 15, 2; 8, 11; Ga 6, 7-9; Heb 10, 26-29. 39; 12, 16-17.
En 1 Ti Paul parle de certains qui « se sont écartés (de la bonne conscience) au point que leur foi a fait naufrage » (1Ti 1, 19), et il donne comme exemple Hyménée et Alexandre qu’il a » livrés à Satan » (v. 20). « L’Esprit déclare clairement que, dans les derniers temps, plusieurs se détourneront de la foi » (1 Ti 4, 1). « Certains, pour s’y être abandonnés (à l’amour de l’argent), se sont égarés bien loin de la foi et se sont infligés beaucoup de tourments » (1 Ti 6, 10). 2 Ti 2, 17-18 parle d’Hyménée et de Phylète qui « sont en train de détourner plusieurs de la foi« . Jacques parle de ceux qui « se sont égarés loin de la vérité » (Jc 5, 19). Celui qui ramène l’un de ces égarés « le sauvera de la mort » (Jc 5, 19-20).
Nous terminerons par Ephésiens 2, 8-9 que vous citez en omettant le verset 10 qui nous dit :
« Car nous sommes son ouvrage, ayant été créés en Jésus-Christ pour de bonnes œuvres, que Dieu a préparées d’avance, afin que nous les pratiquions.« |